Café: « ..poésie.. ..peinture..
Café: « rien changer.. vous préserver d’autres..
.. « Vous irez, tantôt pour ..
..Bouquiner, comme d’habitude..
..un peu dans les quartiers.. vous
affectionnez..
..« Rien n’aura changez..
..ou plutôt
tout aura changé, hormis vous; ..
..l’ignorez; car
vous êtes du vent, ..
..vos carnets ont, plus d’une fois, fait ..
..Vous oubliez que j’ai vécu
près de vous. »
Café: « cette missive anonym’ .. a glissé de l’un .. cartons..
.. – Vous me suivez..
..qui êtes-vous? ..
..dans mon corps..
.. Mes cahiers, mes carnets..
..sont couverts.. »
Café: « telle l’origine, ne saurait être..
Café: « ..cette fois-là, n’était plus opaque..
Café: « je suis.. hasard..
Café: « Au bout du.. franchissant .. soudain le chan’..
Café: « .. de l’homme ajuste..
Café: « ’seau oû l’eau déferl’ ..
..coeur ne vise pas..
..cet oiseau n’est pas un..
..prit dans le point..
..encre est réserve .. écritur’ .. »
Et si le fauteuil de mon grand-père a repris ainsi vie c’est grâce à la belle Amélie, je ne peux que vous la recommander: