Il n’avait plus que deux points. Il a donc fallu laisser tomber un i. Pour le boucher, cela allait encore. Il pouvait se regarder dans la glace. Pour la bouchère, c’était déjà un peu plus difficile, avec un grand saut en l’air … ou juste après plutôt, pour retomber sur l’œuf. On en ri mais on ne le montre pas.
Bises et dourires (ou dour res ?) Irène.
Et le temps qui passe entre les lettres, on en fait quoi?
Faudrait pas l’oublier quand même. Il est beau le temps.
Si beau qu’un i lui a fait de la place. Il y a pensé, lui. Le i, j’veux dire.
À faire d’la place au temps.
Il n’avait plus que deux points. Il a donc fallu laisser tomber un i. Pour le boucher, cela allait encore. Il pouvait se regarder dans la glace. Pour la bouchère, c’était déjà un peu plus difficile, avec un grand saut en l’air … ou juste après plutôt, pour retomber sur l’œuf. On en ri mais on ne le montre pas.
Bises et dourires (ou dour res ?) Irène.
surtout qu’ ls v ennent d’ouvr r…boucher ou bouchère….dour re….b zz’douces, g lles
(y’en a des i en frança s !!!)
C’est ce qu’on appelle jouer à la Perec !
Une toute belle et douce journée à vous, madame Tétaz.
j’adore Perec…grand sourire..tout pareil, m’sieur Labruyère
Et le temps qui passe entre les lettres, on en fait quoi?
Faudrait pas l’oublier quand même. Il est beau le temps.
Si beau qu’un i lui a fait de la place. Il y a pensé, lui. Le i, j’veux dire.
À faire d’la place au temps.
un doux sourire vers ton réveil,
belle amie de là-bas..
qui sait peut-être est-il auprès de toi,
ce i, parti d’ici…sourire