et voilà qu’on saute les jours
ou est-ce plutôt les jours qui sautent
sans qu’on s’en aperçoive?
l’obscur, la mer
le refuge, l’hiver
que danse-t-on dehors
à caresser la tige
et goûter sans méfiance
le parfum du souvenir
…
belle fin de vendredi
tendre irène
de ton côté de l’eau
la si grande qui vague
son âme d’errante…
« ou les sable
stimule une tiédeur »..
alors je m’y love,
dans le sable des jours,
laissant doucement une trace
d’un plaisir du hier
et du lendemain…sourire
Café floral aujourd’hui. Dourires en gerbes, Irène.
ça sent doucement le printemps ces jours…grand sourire…biz’douces, gilles
et voilà qu’on saute les jours
ou est-ce plutôt les jours qui sautent
sans qu’on s’en aperçoive?
l’obscur, la mer
le refuge, l’hiver
que danse-t-on dehors
à caresser la tige
et goûter sans méfiance
le parfum du souvenir
…
belle fin de vendredi
tendre irène
de ton côté de l’eau
la si grande qui vague
son âme d’errante…
« ou les sable
stimule une tiédeur »..
alors je m’y love,
dans le sable des jours,
laissant doucement une trace
d’un plaisir du hier
et du lendemain…sourire
Oh comme il me plaît ce café qui danse, riche en élan: il virevolte, saute: il danse!
merci cécile, c’est bien connu: au printemps tout virevolte….sourire…belle soirée !!!