les arbres savent la neige
comme l’aubépine, le coeur
des poèmes en feuilles
dans l’avalanche des jours
le sang, les fibres et les branches
et puis les jours qui passent
rêvant qu’on les y touche
entre toutes les nuits…
merci, tendre toi
pour cet espace vivant…
merci, belle amie,
merci pour ces mots,
si beaux,
ces mots qui sont à la fois,
l’aubépine et l’arbre,
qui sont surtout
toi..
un si tendre sourire
par dessus la belle bleue
« si enclins aux mirages » … et la tasse disparu, laissant l’empreinte de ses émaux entre les mots. Sublime ! Merci, douce Irène.
merci infiniment, cher gilles..et une toute douce journée à toi
les arbres savent la neige
comme l’aubépine, le coeur
des poèmes en feuilles
dans l’avalanche des jours
le sang, les fibres et les branches
et puis les jours qui passent
rêvant qu’on les y touche
entre toutes les nuits…
merci, tendre toi
pour cet espace vivant…
merci, belle amie,
merci pour ces mots,
si beaux,
ces mots qui sont à la fois,
l’aubépine et l’arbre,
qui sont surtout
toi..
un si tendre sourire
par dessus la belle bleue