8 Replies to “café: « …cette lacune qui devient charnière..”
« Je reste seul avec le chemin comme une échelle dressée », ce carnet est vraiment fulgurant. J’ai bien envie d’aller y poser mes pas. La bibliothèque à côté ne l’a pas. Je vais demander à Anne, ma libraire favorite. Quant au travail d’illustration, il est à la hauteur du carnet, qui ajoute à la déambulation un fil d’inspiration magnifiée. Merci, Irène, pour ce moment d’émotion intense.
oui, gilles, ce « carnets » est simplement magistral…j’ai hésité avant de le choisir pour y apposer mes cafés, mais je l’aime tant aussi…
il est vrai que je l’ai acheté il y a des années, encore en fr…sourire….j’espère qu’il est toujours « trouvable »…
un immense merci pour tes dires…et un grand sourire vers toi..
de petites tristesses
comme le creux des marées d’automne
le vent, les pierres
y voir la feuille, ou la rivière sinon
qui glisse
colorée, transformée
/ par le regard d’alice /
rouvrir ce qui redevient souffle
l’envie de clarté et de bois
dans un grand hommage au sauvage
bel ombrage s’il en est
où les charnières restent souples
et le chemin se révèle
dans l’écrin du matin
la main qui se tend vers le monde
en lui rendant le beau…
« Je reste seul avec le chemin comme une échelle dressée », ce carnet est vraiment fulgurant. J’ai bien envie d’aller y poser mes pas. La bibliothèque à côté ne l’a pas. Je vais demander à Anne, ma libraire favorite. Quant au travail d’illustration, il est à la hauteur du carnet, qui ajoute à la déambulation un fil d’inspiration magnifiée. Merci, Irène, pour ce moment d’émotion intense.
oui, gilles, ce « carnets » est simplement magistral…j’ai hésité avant de le choisir pour y apposer mes cafés, mais je l’aime tant aussi…
il est vrai que je l’ai acheté il y a des années, encore en fr…sourire….j’espère qu’il est toujours « trouvable »…
un immense merci pour tes dires…et un grand sourire vers toi..
Un café tout doux …
Que j’aime beaucoup…
merci cécile…cette tasse sonne douce à mon oreille et à mon coeur…grand sourire…belle journée !!
de petites tristesses
comme le creux des marées d’automne
le vent, les pierres
y voir la feuille, ou la rivière sinon
qui glisse
colorée, transformée
/ par le regard d’alice /
rouvrir ce qui redevient souffle
l’envie de clarté et de bois
dans un grand hommage au sauvage
bel ombrage s’il en est
où les charnières restent souples
et le chemin se révèle
dans l’écrin du matin
la main qui se tend vers le monde
en lui rendant le beau…
..oui, le regard d’alice,
ce cadeau de l’autre côté de l’océan,
et tout ce qu’il contient,
là, près de moi, quand je la dessine..
Etonnant ce café pistache, comme une robe bonbonnière
une robe d’Alice au pays des merveilles…sourire