l’invitation au jour
par le désir
incurable
et partout sur les heures
le brouillard de l’étreinte
la lumière qu’on sait folle
elle qui sait les nuits d’ambre
là où l’on rêve encore
les mains grandes ouvertes
pour mieux toucher le vent
…
douce fin de journée à toi
tendre de là-bas..de l’autre côté
de ce grand vague bleu…
..ici les jours se font plus gris,
mais hier,
comme pour rappeler le « désir incurable »,
un magnifique arc-en ciel est venu naître juste devant ma fenêtre…sourire
doux réveil, belle amie de là-bas…
l’invitation au jour
par le désir
incurable
et partout sur les heures
le brouillard de l’étreinte
la lumière qu’on sait folle
elle qui sait les nuits d’ambre
là où l’on rêve encore
les mains grandes ouvertes
pour mieux toucher le vent
…
douce fin de journée à toi
tendre de là-bas..de l’autre côté
de ce grand vague bleu…
..ici les jours se font plus gris,
mais hier,
comme pour rappeler le « désir incurable »,
un magnifique arc-en ciel est venu naître juste devant ma fenêtre…sourire
doux réveil, belle amie de là-bas…
J’en avais un ce matin, pas fort secret, et finalement beau et positif … Merci, Irène, et une toute belle soirée à toi.
alors m’en voilà ravie, gilles…..belle nuit ou beau réveil demain…et un immense sourire !!
Sourire en retour, Irène, et pour toute la journée.
Café fleuri, primesautier. On le dirait perché du bout de ses orteils de porcelaine sur la crème du papier…
joie des jaunes-orangés de ma cour…grand sourire