le bleu, la tache, le fil et le comble
par le geste qui re-trace
la versance de l’âme
… ainsi voilà…
« exposé à la démesure »
je reviens
ressurgis
pour toucher la mémoire
de l’insondable souffle
… ne pas voir s’envoler
où le « destin… s’incline… »
ni les heures ni le ciel ni le vent…
… qu’elle te soit belle cette soirée, irène
d’ici je t’écris les orteils un peu froids…
malgré des bas de laine…
on y sent moins vingt de l’autre bord du mur… sourire…
..merci pour ces mots, si beaux, douce caroline….ici aussi mes orteils sont froids, mais c’est parce que je viens d’ouvrir un peu trop longtemps la fenêtre, pour aérer….sourire…car il fait frais, mais juste frais…sourire encore…
que la laine te réchauffe les pieds, que la douceur d’une pensée sourire te réchauffe le coeur…
le bleu, la tache, le fil et le comble
par le geste qui re-trace
la versance de l’âme
… ainsi voilà…
« exposé à la démesure »
je reviens
ressurgis
pour toucher la mémoire
de l’insondable souffle
… ne pas voir s’envoler
où le « destin… s’incline… »
ni les heures ni le ciel ni le vent…
… qu’elle te soit belle cette soirée, irène
d’ici je t’écris les orteils un peu froids…
malgré des bas de laine…
on y sent moins vingt de l’autre bord du mur… sourire…
..merci pour ces mots, si beaux, douce caroline….ici aussi mes orteils sont froids, mais c’est parce que je viens d’ouvrir un peu trop longtemps la fenêtre, pour aérer….sourire…car il fait frais, mais juste frais…sourire encore…
que la laine te réchauffe les pieds, que la douceur d’une pensée sourire te réchauffe le coeur…